Parmi de milliers de définitions de l’art
pictural, je me suis arête sur celle-ci :
C’est l’attrait du
beau, la capacité de créer ou de transmettre une
émotion.
L’attrait de
l’harmonie et d’une certaine osmose entre des couleurs
qui se complètent.
Pour paraphraser
Mozart qui parlé de sa musique... « Je met
ensemble les notes qui s’aiment. »
Ou alors ce que un des témoins appelés à la
barre et sommé par le Président du tribunal de
s’expliquer pour quoi il considéré la pièce de bronze
qui était devant eux, est une œuvre d’art, dans le
procès – Brâncuși contre États-Unis
, eu cette superbe
réponse : « Parce que cela provoque en moi
une émotion »
Mais quelque chose ne
tourne plus rond depuis plus d’un siècle, depuis le
« Ready Made » de Marcel Duchamp en 1916
A partir de ce moment
il est devenu plus important de savoir parler de sa
démarche artistique, que réaliser, créer, produire un
objet artistique, afin de transmettre une émotion. La
porte était ouverte à toutes les dérives dites
« artistiques », et par l’ouverture beaucoup
de charlatans se sont engouffré. Des lors en regardant
une « œuvre » présentée dans une exposition
ou un musée et qu’on ne lui trouvé rien, mais alors,
rien d’artistique, qu’elle ne fait éveiller chez vous
aucune émotion, on vous regardera un peu de haut,
l’aire de dire , mais mon pauvre vous n’avez pas de
culture artistique.
Ce qui petit à petit,
crée de la distance entre le publique et les lieux
d’exposition.
Alors, vous savez
quoi ? Si vous regardez une œuvre d’art et vous
ne sentez aucune émotion, c’est simple, cette œuvre ne
pas faite pour vous. Et si le galeriste, ou l’artiste
insiste, afin de vous expliquer ce que vous devez
voir, mais, malgré tout, vous n’y arrivez pas, eh bien
écoutez le. C’est toujours enrichissant.
En revanche pour
acheter une œuvre pour votre collection personnelle,
écoutez que votre cœur.
|